Comment ça Tous à Toile! ?
En vivant l’image quelle qu’elle soit.
En soutenant ses créateurs.
En pariant sur une culture à échelle humaine.
En proposant des évènements rassembleurs et conviviaux.
Acteurs et amateurs de l’art visuel, nous avons créé l’association Tous à Toile! afin de promouvoir une image plurielle. Le cœur du projet est de mettre en lumière des artistes en quête de visibilité. Tisser un lien entre les artistes et le public autour de rendez-vous réguliers : ciné-rencontre et débats, expositions, festivals…
Le travail de Pauline Buzaré est basé sur une approche sensorielle entre le corps et le paysage, qui est retranscrit dans ses vidéos, installations, photographies, dessins
et éditions. Pendant ses années d’études à l’École des Beaux-Arts de Quimper, elle voyager et à mettre en relation cette expérience de l’inconnu à sa recherche artistique. Découvrir de nouveaux paysages, marcher-penser-observer, perdre ses repères quotidiens pour exprimer une exploration physique et mentale de l’espace, entre action et contemplation.
Mon travail de recherche plasticienne, entamé en 1997, s’articule autour de la récolte et de la mise en oeuvre de matières issues de la flore et de la faune. Ma démarche picturale consiste à recomposer à partir de la photographie des «paysages», des «univers» à partir de ces matières, à leur donner une existence propre indépendemment de leur origine. Ce que je propose au regard, c’est une peinture, un espace sensoriel où chacun peut trouver sa propre lecture. Mon travail est une quête poétique ert philisophique de la nature. Chercher et comprendre quelques secrets qui échappent au regard.
Lise Pennec mêle dessin photographie et vidéodanse. Entre les trois médiums, circule un corps omniprésent et poreux. Il demeure prépondérant à son univers graphique, qu’il soit mis en lumière dans une laborieuse tapisserie ou posé comme une virgule dans le paysage. Sa pratique du dessin, mériculeuse et répétitive rend compte de sa fascination pour le motif, présent partout autour de nous. A cela, toujours se superpose un corps suspendu, une attitude contemplative. L’acte dansé (qu’il soit une simple marche ou un enchaînement plus élaboré) propulse l’être-corps non plus traversant mais traversé, dans une dimension poétique. Le mouvement, résultant d’états de corps « bâtards » modifie notre perception de l’espace.
Mon travail s’articule sur des notions d’échelles, de séries, de jeux de constructions, de lignes, de pleins et de vides. J’engrange les images, les souvenirs et instants suspendus, les objets que j’exploite en multipliant mes propositions plastiques : volumes terre, gravures dessins.
Les encres et gravures de Klervi évoquent un univers hybride entre l’homme et l’animal, entre le rêve et le cauchemar. A travers des silhouettes fantomatiques, l’utilisation de la transparence associée à des touches de peinture épaisses, se un dialogue entre l’effrayant et le séduisant. Ses réalisations sont instinctives ,dans un rapet de la matière qu’elle travaille. Son oeuvre se fait par collage, composition et recomposition, dans le plaisir de peindre, de graver, de jouer avec le hasard, à la manière des dadaïstes et de l’écriture automatique.
J’ai décidé de partir en Avril 2014 avec un ami et une artiste en Asie Centrale à bord d’une vieille Volvo 240. 15 000 km à réaliser ensemble. Au cours du voyage pour lequel j’ai réalisé mon projet photographique « Welcome to Vivistan », j’ai aussi réalisé plusieurs séries de vidéos, dont l’une avec Clémence Chartenet, performeuse pour cet exercice. Le principe que nous avions instauré ensemble était simple. A moi le cadrage et l’espace choisi pour un espace-temps de vidéo, à elle l’évolution dans ce cadre selon son humeur, ses costumes, ses intentions poétiques. Nous avons ainsi construit un chemin et une histoire énigmatique, drôle, voire absurde qui n’en est qu’à ses premiers pas...
Le travail de Pauline Buzaré est basé sur une approche sensorielle entre le corps et le paysage, qui est retranscrit dans ses vidéos, installations, photographies, dessins
et éditions. Pendant ses années d’études à l’École des Beaux-Arts de Quimper, elle voyager et à mettre en relation cette expérience de l’inconnu à sa recherche artistique. Découvrir de nouveaux paysages, marcher-penser-observer, perdre ses repères quotidiens pour exprimer une exploration physique et mentale de l’espace, entre action et contemplation.
Mon travail de recherche plasticienne, entamé en 1997, s’articule autour de la récolte et de la mise en oeuvre de matières issues de la flore et de la faune. Ma démarche picturale consiste à recomposer à partir de la photographie des «paysages», des «univers» à partir de ces matières, à leur donner une existence propre indépendemment de leur origine. Ce que je propose au regard, c’est une peinture, un espace sensoriel où chacun peut trouver sa propre lecture. Mon travail est une quête poétique ert philisophique de la nature. Chercher et comprendre quelques secrets qui échappent au regard.
Les encres et gravures de Klervi évoquent un univers hybride entre l’homme et l’animal, entre le rêve et le cauchemar. A travers des silhouettes fantomatiques, l’utilisation de la transparence associée à des touches de peinture épaisses, se un dialogue entre l’effrayant et le séduisant. Ses réalisations sont instinctives ,dans un rapet de la matière qu’elle travaille. Son oeuvre se fait par collage, composition et recomposition, dans le plaisir de peindre, de graver, de jouer avec le hasard, à la manière des dadaïstes et de l’écriture automatique.
J’ai décidé de partir en Avril 2014 avec un ami et une artiste en Asie Centrale à bord d’une vieille Volvo 240. 15 000 km à réaliser ensemble. Au cours du voyage pour lequel j’ai réalisé mon projet photographique « Welcome to Vivistan », j’ai aussi réalisé plusieurs séries de vidéos, dont l’une avec Clémence Chartenet, performeuse pour cet exercice. Le principe que nous avions instauré ensemble était simple. A moi le cadrage et l’espace choisi pour un espace-temps de vidéo, à elle l’évolution dans ce cadre selon son humeur, ses costumes, ses intentions poétiques. Nous avons ainsi construit un chemin et une histoire énigmatique, drôle, voire absurde qui n’en est qu’à ses premiers pas...
Liz Hascoët est originaire du Finistère Sud. Passionnée par le dessin, les textures et la couleur, elle fait des études dans le textile. La découverte de la matière et le vocabulaire textile a enrichi son travail actuel basé autour du dessin, de la gravure et des textures. Son travail polymorphe se traduit à travers différentes techniques graphiques (encre, peinture, gravure, digigraphie, impression textile...). Capter un geste, une attitude, un espace, lui permet de développer son univers singulier à travers son trait.